perche-quebec.com
Le Perche, terre d'émigration
vers le Québec au XVIIe siècle
Le Perche, terre d'émigration vers le Québec au XVIIe siècle

Jean Guyon (1592 Tourouvre - 1663 Beauport)
Mathurine Robin (~ fin XVIe Mortagne-au-Perche - 1662 Beauport)
Arbre de parenté de Jean Guyon avec Céline Dion Arbre de parenté de Jean Guyon avec Stéphane Dion Arbre de parenté de Jean Guyon avec Madonna Arbre de parenté de Jean Guyon avec Hillary Clinton Arbre de parenté de Jean Guyon avec Reine Camilla Arbre de parenté de Jean Guyon avec Diane Dufresne Arbre de parenté de Jean Guyon avec André Gagnon Arbre de parenté de Jean Guyon avec Diane Tell Arbre de parenté de Jean Guyon avec Ginette Reno Arbre de parenté de Jean Guyon avec Isabelle Boulay Arbre de parenté de Jean Guyon avec Hélène Mercier Arbre de parenté de Jean Guyon avec Justin Trudeau Arbre de parenté de Jean Guyon avec Marc Ouellet Arbre de parenté de Jean Guyon avec Lynda Lemay Arbre de parenté de Jean Guyon avec Jack Kerouac Arbre de parenté de Jean Guyon avec Jean Paul Lemieux Arbre de parenté de Jean Guyon avec Marie-Nicole Lemieux Arbre de parenté de Jean Guyon avec Justin Bieber Arbre de parenté de Jean Guyon avec Xavier Dolan Arbre de parenté de Jean Guyon avec Michel Marc Bouchard Arbre de parenté de Jean Guyon avec Ryan Gosling Arbre de parenté de Jean Guyon avec Jim Carrey Arbre de parenté de Jean Guyon avec Fabienne Thibeault

     


par Jean-François Loiseau
publié le 28 octobre 2017, mis à jour le 28 décembre 2023

18 septembre 1592 ! Alors que Henri IV tente de conquérir son Royaume, la paroisse Saint-Aubin de Tourouvre dans le Perche vit un bien modeste événement. Sur les registres paroissiaux, le curé rédige en latin l'acte de baptême d'un nouveau paroissien : « Johannes filius Jacobi Guyon er Maria eus uxoris… » . Le père Jacques est un notable et la mère s'appelle Marie Huet.

On ignore de quoi fut faite la jeunesse du nouveau-né mais l'on retrouve sa trace sur un acte du 18 mai 1614 où il prête une somme d'argent à un laboureur d'Autheuil. Un an plus tard, le 2 juin 1615, il épousera en la paroisse Saint-Jean et Saint-Malo de Mortagne, Mathurine Robin qui lui donnera huit enfants avant de le suivre en Nouvelle-France.

Mathurine Robin, fille de Jacques Robin et de Madeleine Avrard, est née vers la fin du XVIe siècle à Mortagne.
Acte de baptême de Jean Guyon
Acte de baptême de Jean Guyon daté du 18 septembre 1592
registre paroissial de Tourouvre
source: archives départementales de l'Orne

L'acte de mariage


Acte de mariage de Jean Guyon et Mathurine Robin daté du 2 juin 1615 - registre de la paroisse Saint-Jean et Saint-Malo de Mortagne-au-Perche
source: archives départementales de l'Orne

Le deuxiesme jour des (dits) mois et an (juin 1615) Jean Guion de la par(oisse) de Thorovre et Mathurine Robin de ceste par(oisse) ont este espousez

Quand son père décède en 1623, Jean Guyon vend la maison familiale de Tourouvre et se fixe à Mortagne, prenant sa mère avec lui. Cette dernière disparaîtra trois ans plus tard. Probablement grâce à un héritage, la famille s'installe dans une plus grande demeure, et la vie continue.

Il exercera la profession de maçon. A 42 ans, dix jours après la naissance de son fils Michel, Jean Guyon va céder aux propositions de Robert Giffard, médecin, chantre de l'émigration vers la Nouvelle-France et décide de tout quitter pour « faire, par la grâce de Dieu, colonie au pays de la Nouvelle-France ».

Eglise Saint-Aubin de Tourouvre © 2014 www.perche-quebec.com Nef de l'église Saint-Aubin de Tourouvre © 2014 www.perche-quebec.com Nef de l'église Saint-Aubin de Tourouvre © 2014 www.perche-quebec.com Plaque commémorative des émigrants de Tourouvre © 2014 www.perche-quebec.com Plaque en l'honneur de Mathurine Robin

Si Robert Giffard tient à le recruter, c'est sans doute parce qu'il maîtrise son métier, et on ne saurait en douter puisqu'en 1615, on lui confie, en sa qualité de maître maçon, le soin de doter l'église Saint-Aubin de Tourouvre d'un escalier d'une trentaine de marches conduisant au clocher. Cet ouvrage peut encore être admiré de nos jours.

Dix ans plus tard, on recourt à ses services pour la restauration des murailles de Mortagne, ce qui témoigne également de la confiance dont il jouissait auprès du procureur syndic des habitants de la ville. Les fortifications étaient sans doute fort mal en point, car Mortagne avait changé 22 fois de mains pendant les guerres de Religion!

L'engagement

C'est le 14 mars 1634 que Jean Guyon et son fils Jean ainsi que Zacharie Cloutier s'engagent à suivre Robert Giffard. Le seigneur promet de leur concéder des fiefs dans sa seigneurie de Beauport. Le notaire Roussel est-il distrait? Il semble que Giffard veut donner « à chacun d'eux mille arpents de terre » , mais le tabellion écrit « à chacun deux mille arpents » . Quand vient le moment pour le seigneur de respecter ses promesses, les deux pionniers reçoivent respectivement les arrière-fiefs de la Cloutièrerie et du Buisson, celui-ci nommé d'après une petite rivière qui l'arrose. Guyon s'attribuera d'ailleurs ce surnom à particule. De cette erreur, il résultera une vive contestation. Le gouverneur Huault de Montmagny intervint et il trancha la question au bénéfice du seigneur.

Signatures de Robert Giffard et Jean Guyon sur l'acte du 14 mars 1634
devant Chamboy, notaire à Mortagne, par lequel Jean Guyon se met au service de Robert Giffard
source: Association Perche-Canada

En mars 1634, Jean et son fils embarquent à Dieppe et après deux mois de traversée, ils arrivent à l'embouchure du fleuve Saint-Laurent.

D'après l'historien Marcel Trudel (1917-2011), Mathurine Robin ne serait arrivée avec ses autres enfants qu'en 1636, à l'exception de sa fille Barbe et de son gendre qui rejoindront le reste de la famille bien plus tard vers 1652.

Jean Guyon est de toutes les fêtes religieuses et populaires. Ainsi, le Journal des Jésuites nous apprend que lors de la Fête-Dieu de 1646, il marche avec un autre migrant percheron célèbre Zacharie Cloutier à la tête de la procession, et que, à l'occasion du mariage de Jean Guyon du Buisson, le fils aîné du pionnier, avec Elisabeth Couillard, « il y eut deux violons à la noce, ce qui ne s'était pas encore vu au Canada » .

Ce n'est qu'en 1653 que Jean Guyon et son épouse cèdent leur maison de Mortagne à la paroisse.

Jean Guyon décéde le 30 mai 1663 à Beauport et est inhumé le lendemain à Québec âgé de 70 ans. Mathurine Robin l'avait précédé dans la tombe un an plus tôt ; elle est décédée le 16 avril 1662 à Beauport et est inhumée à Québec le lendemain.

Huit des enfants, dont six fils, se marieront et donneront à la colonie une pléiade de rejetons. Au fil des siècles, leurs enfants et descendants ont donné naissance à des générations de Guyon, devenus Guion ou Dion. Elles se sont installées au Québec, au Canada et aux Etats-Unis. Céline Dion est la plus célèbre de ces descendants.

En 1730, la lignée Guyon compte 2150 personnes, ce qui la place ainsi au premier rang des familles françaises d'Amérique.

Les actes de décès


Acte de décès de Mathurine Robin daté du 17 avril 1662 - registre de la paroisse Notre-Dame de Québec
© FamilySearch

Acte de décès de Jean Guyon daté du 31 mai 1663 - registre de la paroisse Notre-Dame de Québec
© FamilySearch

Les Dion du Québec

Dion

Le Québec, une histoire de famille
© La Boîte à Histoire Inc.

En 2005, on compte 14 300 Dion au Québec, ce qui en fait la 61e famille en importance. Les Dion du Québec sont pour la plupart des Guyon ! Les erreurs de prononciation ont transformé le patronyme au fil des siècles. On compte trois souches de Dion ; la plus ancienne et principale souche est celle du pionnier percheron Jean Guyon, né en 1592 à Tourouvre et marié à Mathurine Robin le 2 juin 1615 à Mortagne-au-Perche. Les deux principaux autres couples Dion venus en Nouvelle-France sont:
  • Jacques Dion Guyon (né vers 1649 à Marans en Charente-Maritime) et Jeanne Renard Lecointe, mariés à Québec le 26 avril 1672,
  • Philippe Dion Deslauriers Guyon (né vers 1638 à Civray dans la Vienne) et Suzanne Métayer, mariés à Québec le 13 novembre 1684.

  • sources
  • Les Dion et les cousins d'Amérique
  • Institut de la statistique du Québec

  • Jean Guyon (1619 Mortagne-au-Perche - 1694 Château-Richer)

    Jean est baptisé le 1er août 1619 en l'église Saint-Jean de Mortagne-au-Perche. Il arrive le 4 juin 1634 à Québec. Jean jettera son dévolu sur Elisabeth Couillard (1645), la petite fille de Louis Hébert : le couple aura 13 enfants. Jean Guyon est décédé le 14 janvier 1694 à Château-Richer et y est inhumé le surlendemain.

    Simon Guyon (1621 Mortagne-au-Perche - 1682 Québec)

    Simon est baptisé le 2 septembre 1621 en l'église Saint-Jean de Mortagne-au-Perche. Le PREFEN estime son année d'arrivée en Nouvelle-France à 1636. Le 10 novembre 1653, il épouse Louise Racine , fille d'Étienne et de Marguerite Martin : le couple aura sept enfants. Simon est décédé le 8 février 1682 à Québec et y est inhumé le lendemain dans le cimetière des pauvres de l'hôpital.

    Claude Guyon (1629 Mortagne-au-Perche - 1694 Québec)

    Claude est baptisé le 22 avril 1629 en l'église Notre-Dame de Mortagne-au-Perche. Son parrain est le noble homme Claude Chovet, sieur de la Morrelière, conseiller du Roy, élu à l'élection du Perche et sa marraine, dame Suzanne Roumet. Le PREFEN estime son année d'arrivée en Nouvelle-France à 1636. Il se marie une première fois avec une Parisienne, Catherine Colin (1655), originaire de la même paroisse que l'épouse de Samuel de Champlain, Saint-Germain l'Auxerrois: le couple aura 12 enfants.

    Claude prend en secondes noces le 1er décembre 1688 Marguerite Binaudière, une fille du roi originaire de Chartres avec qui il n'aura pas d'enfant. Claude Guyon est inhumé le 23 février 1694 à Québec

    Denis Guyon (1631 Mortagne-au-Perche - 1685 Québec)

    Denis est baptisé le 30 juin 1631 en l'église Notre-Dame de Mortagne-au-Perche. Le PREFEN estime son année d'arrivée en Nouvelle-France à 1636. Le 21 octobre 1659 à Québec, il unit sa destinée à celle d'Elisabeth Boucher, fille de François et de Florence Gareman. Le couple aura neuf enfants. Denis Guyon est décédé le 30 août 1685 dans la basse ville de Québec et y est inhumé le lendemain.

    Michel Guyon, sieur de Rouvray (1634 Mortagne-au-Perche - ? Canada)

    Michel Guyon, sieur de Rouvray, est baptisé le 3 mars 1634 en l'église Notre-Dame de Mortagne-au-Perche. Le PREFEN estime son année d'arrivée en Nouvelle-France à 1636. Charpentier de navires, il choisit pour compagne, le 4 septembre 1662 à Québec, Geneviève Marsolet, fille de Nicolas, qui est sieur de Saint-Aignant, tout d'abord interprète arrivé en 1613 avec Samuel de Champlain, puis propriétaire de plusieurs seigneuries dont celle de Bellechasse: le couple aura 13 enfants. On ne connait pas la date de décès de Michel Guyon si ce n'est qu'elle se situe après le 2 avril 1707.

    Son frère cadet François, dit Després, baptisé le 7 décembre 1639 à Québec, s'allie lui aussi avec une Marsolet, prénommée Marie-Madeleine, la soeur de Geneviève. Le couple aura 12 enfants. Il est à signaler que les deux frères Guyon se marient aux soeurs Marsolet le même jour le 4 septembre 1662; ils ont signé leur contrat de mariage devant le notaire Audouard le 20 août précédent.

    Les deux filles Guyon doivent relever aussi le défi des familles nombreuses.

    Barbe Guyon (1617 Mortagne-au-Perche - 1700 Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans)

    Barbe, l'aînée de la famille, est baptisée le 19 avril 1617 à Mortagne-au-Perche. Elle y épouse le maître coutelier Pierre Paradis, le 11 février 1632; le couple a sept enfants avant de migrer en Nouvelle-France vers 1652 et il en porte quatre autres à l'église après son arrivée. Barbe décède subitement le 27 novembre 1700 à Saint-Pierre, Île-d'Orléans et y est inhumée le surlendemain.

    Marie Guyon (1624 Mortagne-au-Perche - 1696 Cap-Saint-Ignace)

    Marie Guyon est baptisée le 18 mars 1624 à Mortagne-au-Perche. Le PREFEN estime son année d'arrivée en Nouvelle-France à 1636. Elle n'a que treize ans lorsqu'elle choisit pour époux le 12 juillet 1637 à Québec un solide normand, le maçon François Bélanger ; celui-ci sera capitaine de milice sur la Côte de Beaupré et recevra en 1677 la seigneurie de Bonsecours (L'Islet). Le couple a 12 enfants. Marie décède le 29 août 1696 à Cap-Saint-Ignace et y est inhumée le 1er septembre 1696.

    sources
  • Montagne, F. (1967). JEAN GUYON, PERCHERON et CANADIEN. Cahiers Percherons, 28, 13-19. (imprimable)
  • Ganivet, M. (1998, 1 janvier). Céline Dion, son histoire commence dans le Perche en 1615. Le Perche.
  • Paboul, J., Lacroix, T., Beaussy, I. (2005). Jean GUYON, sieur du Buisson. Programme de Recherche sur l'Émigration des Français en Nouvelle-France (PREFEN). Université de Caen Basse-Normandie, Centre de recherche d’histoire quantitative. (imprimable)
  • Montagne, Mme Pierre. (1967). PERCHE-CANADA Du nouveau sur Robert Giffard promoteur de l'émigration percheronne. <i>Cahiers Percherons, 28, 13-19</i>.
    En 1967, la chercheuse Françoise Montagne publiait dans les Cahiers Percherons un article très complet intitulé JEAN GUYON, PERCHERON et CANADIEN (imprimable).

    Un couple au croisement des lignées ascendantes
    patrilinéaire et matrilinéaire de Céline Dion !

    ascendances patrilinéaire et matrilinéaire de Céline Dion

    Ascendances patrilinéaire et matrilinéaire

    L'arbre généalogique de Céline Dion présente une particularité très rare ; les lignées ascendantes patrilinéaire et matrilinéaire se rejoignent respectivement au niveau des 12e et 13e générations!

    Le couple de pionniers Jean Guyon et Mathurine Robin est au croisement de ces deux lignées. Qu'un même couple figure dans les deux lignées ascendantes patrilinéaire et matrilinéaire est exceptionnel.

    La lignée matrilinéaire d'un individu est la chaîne des femmes qui, l’une après l’autre, lui ont donné naissance. Elle remonte la lignée de la mère, de la mère de la mère, de la mère de la mère de la mère, etc., sur un certain nombre de générations.

    La lignée patrilinéaire remonte l'arbre de père en père, c'est celle par laquelle le patronyme se transmet généralement. Dans le cas de Céline Dion, le patronyme a évolué au fil des générations de Guyon à Dion.

    Lignée patrilinéaire

    Lignée matrilinéaire

    GUYON Jean
    (1592 Tourouvre - 1663 Beauport)
    ⚭ 1615
    Mortagne-au-Perche
    ROBIN Mathurine
    (~ fin XVIe Mortagne-au-Perche - 1662 Beauport)




    GUYON Jean (1619-1694)
    ⚭ 1645 COUILLARD Elisabeth Isabelle (1631-1704)

    GUYON Pierre (1670-1697)
    ⚭ 1694 TESTU Angélique (1675-1710)

    GUYON Louis (1697-)
    ⚭ 1722 GAMACHE Marguerite Anne (1694-1759)

    GUYON Joseph Joachim (1728-1793)
    ⚭ 1751 FOURNIER Marie Marguerite (1734-1801)

    DION Joseph (1781-1810)
    ⚭ 1803 BERNIER Yvonne Modeste (1776-)

    DION Joseph (1804-)
    ⚭ 1833 CHESNEL Marie Julie (1806-1878)

    DION Joseph (1833-1905)
    ⚭ 1867 LÉTOURNEAU Marcelline (1845-1922)

    DION Adélard (~1870-1940)
    ⚭ 1893 LÉVESQUE Esther (1871-1934)

    DION Joseph Charles Adélard (1895-1957)
    ⚭ 1922 BARRIAULT Marie Ernestine (1904-1980)

    GUYON Barbe Marie (1617-1700)
    ⚭ 1632 PARADIS Pierre (1604-1675)

    PARADIS Madeleine Marie (1653-1669)
    ⚭ 1667 ROUSSIN Nicolas (1635-1697)

    ROUSSIN Marie (1669-)
    ⚭ 1685 TREMBLAY Pierre (1660-1736)

    TREMBLAY Marie Anne (1710-1749)
    ⚭ 1732 DUFOUR Joseph (~ 1709-1774)

    DUFOUR Marie Josèphe (1735-1760)
    ⚭ 1750 TREMBLAY François (1727-)

    TREMBLAY Félicité (1759-)>
    ⚭ 1774 GAGNÉ Joseph Ignace (1752-)

    GAGNÉ Marie Modeste (1789-1866)
    ⚭ 1809 SAINT-LAURENT Michel (1786-1859)

    SAINT-LAURENT Émilie (1830-1896)
    ⚭ 1848 GAGNÉ Joseph (1822-1909)

    GAGNÉ Marie Adèle (1853-~1901)
    ⚭ 1889 SERGERIE Joseph Gustave (1870-1910)

    SERGERIE Antoinette (1897-1976)
    ⚭ 1913 TANGUAY Achille Lauriat (1892-1953)

    DION Adhémar
    (1923 les Méchins - 2003 Laval)
    Adhémar Dion
    TANGUAY Thérèse
    (1927 Ste-Anne-des-Monts - 2020 Laval)
    Thérèse Tanguay


    ⚭ 1945 La Tuque



    DION Céline (1968 Repentigny)
    Céline Dion

    Ascendance patrilinéaire de Céline Dion

    GUYON Jean (1592 Tourouvre - 1663 Beauport)
    ROBIN Mathurine (~ fin XVIe Mortagne-au-Perche - 1662 Beauport)

    |
    GUYON Jean (1619 Mortagne-au-Perche - 1694 Château-Richer)
    COUILLARD Elisabeth Isabelle (1631 Québec - 1704 Château-Richer)
    |
    GUYON Pierre (1670 Château-Richer - 1697 Château-Richer)
    TESTU Angélique (1675 L'Ange-Gardien - 1710 Sainte-Famille-de-l'Île-d'Orléans)
    |
    GUYON Louis (1697 Château-Richer -)
    GAMACHE Marguerite Anne (1694 Cap-Saint-Ignace - 1759 Cap-Saint-Ignace)
    |
    GUYON Joseph Joachim (1728 Cap-Saint-Ignace - 1793 Cap-Saint-Ignace)
    FOURNIER Marie Marguerite (1734 Cap-Saint-Ignace - 1801 Cap-Saint-Ignace)
    |
    DION Joseph (1781 Cap-Saint-Ignace - 1810 Cap-Saint-Ignace)
    BERNIER Yvonne Modeste (1776 L'Islet -)
    |
    DION Joseph (1804 Cap-Saint-Ignace -)
    CHESNEL Marie Julie (1806 Cap-Saint-Ignace - 1878 Cap Chat)
    |
    DION Joseph (1833 Rimouski - 1905 Sainte-Anne-des-Monts)
    LÉTOURNEAU Marcelline (1845 Matane - 1922 Saint-Martial de Rivière)
    |
    DION Adélard (~1870 - 1940 Sainte-Anne-des-Monts)
    LÉVESQUE Esther (1871 Sainte-Anne-des-Monts - 1934 Sainte-Anne-des-Monts)
    |
    DION Joseph Charles Adélard (1895 Sainte-Anne-des-Monts - 1957 Charlemagne)
    BARRIAULT Marie Ernestine (1904 les Méchins - 1980)
    |
    DION Adhémar (1923 les Méchins - 2003 Laval)
    TANGUAY Thérèse (1927 Sainte-Anne-des-Monts - 2020 Laval)
    |
    DION Céline (1968 Repentigny)
    Céline Dion



    Ascendance matrilinéaire de Céline Dion

    ROBIN Mathurine (~ fin XVIe Mortagne-au-Perche - 1662 Beauport)
    GUYON Jean (1592 Tourouvre - 1663 Beauport)
    |
    GUYON Barbe Marie (1617 Mortagne-au-Perche - 1700 Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans)
    PARADIS Pierre (1604 Mortagne-au-Perche - 1675 Sainte-Famille-de-l'Île-d'Orléans)
    |
    PARADIS Madeleine Marie (1653 Québec - 1669 Château-Richer)
    ROUSSIN Nicolas (1635 Tourouvre - 1697 L'Ange-Gardien)
    |
    ROUSSIN Marie (1669 Château-Richer -)
    TREMBLAY Pierre (1660 Québec - 1736 Petite-Rivière-Saint-François)
    |
    TREMBLAY Marie Anne (1710 Baie-Saint-Paul - 1749 Tadoussac)
    DUFOUR Joseph (~ 1709 - 1774 La Malbaie)
    |
    DUFOUR Marie Josèphe (1735 Petite-Rivière-Saint-François - 1760 Baie-Saint-Paul)
    TREMBLAY François (1727 Baie-Saint-Paul -)
    |
    TREMBLAY Félicité
    GAGNÉ Joseph Ignace (1752 Baie-Saint-Paul -)
    |
    GAGNÉ Marie Modeste (1789 L'Isle-aux-Coudres - 1866 Baie-des-Sables)
    SAINT-LAURENT Michel (1786 Rimouski - 1859 Sainte-Luce)
    |
    SAINT-LAURENT Émilie (1830 Rimouski -)
    GAGNÉ Joseph (1822 Rimouski -)
    |
    GAGNÉ Marie Adèle (1853 Sainte-Flavie - ~ 1901)
    SERGERIE Joseph Gustave (1870 Cap Chat - 1910 Grosses-Roches)
    |
    SERGERIE Antoinette (1897 Cap Chat - 1976 La Tuque)
    TANGUAY Achille Lauriat (1892 Charlesbourg - 1953 La Tuque)
    |
    TANGUAY Thérèse (1927 Sainte-Anne-des-Monts - 2020 Laval)
    DION Adhémar (1923 les Méchins - 2003 Laval)
    |
    DION Céline (1968 Repentigny)
    Céline Dion


    Stéphane Dion, ambassadeur du Canada en France
    un descendant direct de Jean Guyon


    GUYON Jean (1592 Tourouvre - 1663 Beauport)
    ⚭ ROBIN Mathurine Marie
    (~ fin XVIe Mortagne-au-Perche - 1662 Beauport)
    |
    GUYON Claude (1629-1694)
    ⚭ COLIN Catherine (1633-1688)
    |
    GUYON Claude (1663-1728)
    ⚭ BLOUIN Marie Catherine (1680-)
    |
    GUYON Joseph (1706-)
    ⚭ BAUCHER Marie Brigite Thecle (1707-1777)
    |
    GUYON Jean Baptiste (1733-1810)
    ⚭ MORISSET Marie Geneviève (1735-1769)
    |
    GUYON Jean Baptiste (-1820)
    ⚭ LEMIEUX Françoise (1771-1848)
    |
    DION François (1804-1860)
    ⚭ BÉRUBÉ Mathilde (1807-1878)
    |
    DION Candide (1843-1907)
    ⚭ DUBÉ Louise (1852-1926)
    |
    DION Thomas (1878-1940)
    ⚭ DANCAUSE Alice Eugénie (1884-1970)
    |
    DION Léon (1922-1997)
    ⚭ KORMANN Denyse (1929-2010)
    |
    DION Stéphane (1955-)
    Stéphane Dion, ambassadeur du Canada en France

    ascendance patrilinéaire

    Ascendance patrilinéaire

    Comme Céline Dion, la lignée patrilinéaire de Stéphane Dion remonte au pionnier percheron Jean Guyon.

    Le patronyme a évolué au fil des générations de Guyon à Dion.

    328 émigrants percherons

    partis en Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe siècles.
    Liste mise-à-jour par perche-quebec.com en novembre 2023

    Aux racines de la Nouvelle-France et du Canada français
    en partenariat avec

    l'Association Perche-Canada

    © 2024 perche-quebec.com - Tous droits réservés